Pourquoi Roma Vend Anzegnoli et Endika

La logique derrière la crise

Le bilan de Roma ne s’occupe pas de la colère des fans, mais du flux de trésorerie et de la date limite du 30 juin. 13M€ n’est pas un objectif—c’est un seuil. Le manque de liquidité tue lentement. Anzegnoli ? Sa valeur est exagérée par le bruit, mais sa contribution réelle ? Moins de 8M€ net. Endika ? À peine mentionné—pourtant indispensable.

Le calcul silencieux de la vente

Je n’entends pas les rumeurs. Je les trace : les réunions privées avec des investisseurs saoudiens ne sont pas des murmures—mais des actes définitifs. Les clubs qui s’accrochent à la gloire sans liquidité meurent en silence. Ce n’est pas du drame—c’est des mathématiques enveloppées dans le calme.

Pourquoi le silence gagne

Vous ne trouverez pas cela sur YouTube ou TikTok. Le vrai sport se lit comme une poésie—not comme du pop music. Anzegnoli et Endika ne sont pas des actifs à vendre—ce sont des passifs en attente d’être convertis en oxygène pour survivre. Les meilleurs analystes ne crient pas ; ils observent.

Le geste visionnaire

Ce n’est pas qui part—c’est qui reste quand la musique s’arrête. Rome n’a pas choisi le chaos ; elle a choisi la clarté. Le génie silencieux ne réagit pas au bruit—he réécrit le script avant que la foule ne bouge.