Alors et Maintenant : Mon Classement du Draft NBA 2025 Révisé

Être sélectionné n’est pas comme commander une pizza : pas de choix simple sur la base d’un goût. C’est prédire l’avenir sous un déluge de bruit. J’ai donc repensé à mon premier classement de décembre — avant le combine, avant les entraînements privés, avant les réseaux sociaux qui crient des noms.

Et wow. Les choses ont changé.

Le Roi en Herbe : De concurrent à champion

En décembre, Cooper Flagg était presque au niveau de Dylan Harper. Oui, vous avez bien lu. Un joueur aussi scruté que lui n’était pas encore incontestablement numéro 1 pour moi.

Mais puis… il a continué à jouer. À progresser. À mener.

Aujourd’hui ? Il n’est plus seulement le favori absolu — il est l’un des meilleurs candidats au Rookie of the Year depuis Jayson Tatum. Sa maturité offensive dans les moments clés ? Incroyable. Sa polyvalence défensive ? Un rêve pour tout coach.

Alors oui — quand on le voit étouffer Kasparas Jakucionis en zone ou réussir des tirants reculés contre des gardes plus grands… on arrête de poser des questions.

Dylan Harper : Plus qu’un pur athlète…

Dylan Harper n’a pas été détrôné — il a été réévalué. Le débat « Est-il vraiment bon ou juste rapide ? » a fait rage toute la saison. Certains trouvaient son athleticism trompeur ; d’autres lui reprochaient son manque de puissance offensive.

Mais voici ce que j’ai découvert : Harper a affiché un ratio net de +8,6 à Rutgers — incroyable pour un freshman qui n’était même pas supposé être le principal passeur au départ. Sa vision ? Lisse comme du beurre. Sa prise de décision sous pression ? Supérieure à celle d’innombrables pros.

Il ne deviendra peut-être jamais un scoreur de 30 points en une nuit… mais s’il affine son tir moyen (et soyons honnêtes : il peut), nous regardons déjà un futur All-NBA vers l’année 4.

Les Montées Silencieuses : Quand la ténacité dépasse l’hype

Parlons maintenant de joueurs sans publicité mais qui m’ont fait hocher la tête tard le soir :

• Carter Bryant – Un joueur qui est devenu élite derrière l’arc (37 % aux trois points) malgré des minutes limitées ? Cette efficacité ne survient pas par hasard.
• Ace Bailey – On le compare souvent à Porter Jr., mais oublions-nous qu’il défend comme un rôle-player avec potentiel star si jamais il gagne en poids et en précision ?
• Kon Knueppel – Je pensais qu’il allait disparaître après la blessure de Flagg… non, il s’est imposé comme un pro et a porté Duquesne sans rater une seule marche.
• Nique Clifford – Âge avancé ? Peut-être. Statistiques médiocres ? Jamais. Production solide avec meilleure prise de décision = parfait pour les rotations secondaires chez plusieurs équipes aujourd’hui.

Ce ne sont plus des enfants passagers — ce sont des flocons tardifs aux chaînes réelles construites.